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Temptation, tyranny and treason...
 
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 Le contexte de Stralight (To read)

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London F. Mac Lane
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London F. Mac Lane


Messages : 39
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MessageSujet: Le contexte de Stralight (To read)   Le contexte de Stralight (To read) Icon_minitimeDim 20 Juil - 21:13

Bienvenue à Starlight, ville un brin futuriste ou la jeunesse dorée (c'est-à-dire moi et mes précieux « amis ») fait régner en maîtres incontestés le sexe, l’alcool, la drogue, la fête, la mode et le tout dans une déchéance des plus totales. Bref, admirez devant vos yeux le prototype parfait de la petite ville américaine… Nous pouvons rentrer tard, boire comme des trous, fumés comme des pompiers, devenirs junkies, tant que nous semblons être des adolescents modèles aux yeux de tous, des fréquentations de nos parents en particulier. Ainsi, il nous est impossible de dégueuler tout l’alcool que nous avons ingurgité sur le nouveaux veston Prada de notre mère et ce devant une foule. Il nous est aussi impossible d’errer sous les ponts complètements défoncés et de se réveiller au petit matin, complètement stone, dans l’hôpital de la ville, sans aucun souvenir. On ne doit en aucun cas porter plainte contre nos voisins, même si leur fils est un gros violeur pervers et finit. On doit toujours avoir de bonnes notes en cours et suivre la classe des avancés, pas de sous doué chez nous. Bref, nous avons quelque règle simple à respecter pour notre bonheur et pour garder notre réputation intacte.

Temptation…

Dans cette ville, comme je vous l’ai si bien dit, la fête et les plaisirs éphémères règnent… Et on adore ça. On adore se réveiller à 14 heures parce qu’on avait fait la fête avec nos prestigieux amis jusqu'à pas d’heure en s’enfilant des verres d’alcool. C’est tellement foireux de ce réveiller à 7 heure 30 du matin et d’avoir passer la nuit sobre en pensant que c’est cool d’être toujours vierge. Non…C’est plus que foireux… C’est illégal. Enfin… Pas illégal au sens propre mais bon…vous me comprenez. Oui, ici, c’est la ville de toutes les tentations. Les couples se font et se défont, dans le domaine de l’officiel… Mais officieusement, qui sait combien de filles passent par le lit d’un mec en une seule soirée ? Surtout si le mec en question à déjà une copine… C’est tellement plus excitant de braver les limites du correct… Correct… Dans nos bouches pâteuses, ce mot est une insulte.

Tyranny…

Oui… Nous sommes des êtres parfaits dans le plus parfait des mondes. Seule notre merde pue mais nous sommes bien trop parfaits pour nous en rendre compte. Pourtant, dans cette ville si parfaite, un drame c’est produit il y a quelque année de cela. Un groupe d’adolescents en vogues dont je faisais parti rentrait d’une virulente soirée où, si je me souviens bien, je m’étais éclaté. J’avais fini dans les toilettes avec Daniel et Marc…Les deux en même temps. Je ne les connaissais pas vraiment d’ailleurs…Juste de nom. Mais bon… Ils étaient sexy et doués alors pourquoi me privé sous prétexte que je ne les connaissais que depuis même pas deux heures ? Bref… j’étais soûle. On l’était tous… Jim, Nath’, Lauren, Blair et moi… Mais c’était tellement drôle d’être soûle. Bref… Nous étions dans la limousine que Nath’ avait loué. On s’éclatait, buvant encore plus (du champagne) et s’embrassant langoureusement… Oui, dans notre groupe, pas d’attaches ni d’engagement. Je suis, par exemple, passer sept fois dans le lit de Jim mais pourtant, nous ne sommes que de simples amis. Enfin… Nous remontions King avenue quand un coup de feu retentit et Nath’ eut la bonne idée de demander au chauffeur de nous déposer sur les lieux. Nous avons alors vu l’horreur mais, depuis nos regards brouillés par l’alcool, nous ne réalisions pas ce qui était entrain de se passer. Une jeune femme courant vers nous, traversant Happily Park. Elle était d’origine Indienne et avait une jambe en sang. A notre hauteur, elle s’arrêta, nous lançant un regard suppliant et nous demandant de l’aide. Elle tremblait, elle avait peur, elle avait froid, sa jambe était en sang, c’était une inconnue, on était tous bourrés… Que pouvions-nous faire ? Subitement, ses agresseurs apparurent et là, on prit tous peur. Ils étaient grands, baraqués… Ils étaient tout deux Black.

« Cette pétasse, j’vais me la faire »

Avais dit l’un d'eux à l’autre, dégainant son flingue et le pointant sur l’Indienne.

Il tira… Mais ce ne fut pas le corps de l’Indienne qui tomba à terre. Ce fut celui de Lauren. L’une des notre était morte. C’était le meilleur et le plus dur come-back à la réalité que j’ai jamais connu. Subitement, je n’étais plus soûle. Je voyais tout clairement… Les deux types s’avançaient, l’Indienne suppliait dans une langue qui nous était inconnue et Jim, Nath, Blair et moi, on se tenait la comme quatre pauvres cons prêts à ce faire descendre sans avoir rien demandé, devant le cadavre de Lauren Mayers, l’une des notre. Alors, ma tête émit un ordre censé, à mon grand bonheur. « Cours ». Et je couru. Je couru dans la nuit. Nous avons tous couru comme des malades en entendant les coups de feu qui avaient achevé l’Indienne. Ils nous coururent après (ça, ils n’étaient pas près de nous lâcher par peur des autorités et de ce qu’on pourrait leur raconter). Il vînt pourtant un moment où ils n’eurent plus de balle et où la foule s’était rassemblée. Les autorités arrivèrent. On les arrêta… Mais nous n’avions toujours pas cessé de courir. C’était d’une connerie suprême mais aucun de nous ne voulais regarder en arrière cette foule qui demandait des comptes et la famille de Lauren en pleur. Tout ça, c’était de la faute de l’Indienne. C’était à elle de parler…Avouez qu’il est dur de faire parler un mort. Bref, une fois le cauchemar finit, lorsqu’on nous interrogea, nous tenions le même discours : Rien vu, rien entendu, pas là. C’était simple, la seule vraie témoins était morte. C’était Lauren. Encore une fois, c’est elle qu’on aurait dut interroger. Et puis, ce n’est pas si grave de trahir un mort. On voulait tellement en finir avec cette histoire qu’une fois l’interrogatoire finit, on est retourné se bourré la gueule pour effacer notre peine. Quelque jours plus tard, Jim pris sa moto et se cassa le plus loin possible sans dire adieu, Nath’ devînt junkie et Blair vira parano et fit un séjour à l’hôpital psychiatrique. On s’est tous perdu de vue. Des clans se sont formés et, entre eux, c’est la guerre. La vraie guerre. Même si, en apparence, rien ne semble avoir changé… Et je dois avouer que cette tyrannie me plaisait…Jusqu'à ce que Jim fasse son grand come back, cette Trinity au bras. Mais bon…La loi du plus fort est tellement excitante que je vais bien passer outre…

Treason…

Oui… Qui dit tyrannie et loi du plus fort dit forcément trahison. Ai-je besoin d’expliquer ? Depuis cet accident qui à changer nos vies, on ne peu faire confiance à personne…Que ce soit dans le domaine des sentiments ou du judiciaire. Oui…Ne faites confiance à personne, surtout pas à moi.


Bienvenue à Starlight






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